Une certaine partie du corps de la femme, celle que Gustave Courbet a évoqué dans son tableau L’origine du monde, a suscité et continue de susciter l’intérêt un peu trop "vif" de certains représentants de la gent masculine.
Liv Strömquist nous surprend par la justesse et la clarté de son analyse, ses allées et retours effrénés entre passé et présent, ses parallèles inattendus et, surtout, son omniprésent humour au vitriol.