Le sol peut être dur ou tendre pour qui s’offre aux pistes de la vie. En tentant d’accueillir ce qui nous lie à l’univers des autres, des univers quelquefois constellés de disparus demeurés sur le seuil, d’autres où dansent les fêtes ingénues de l’enfance, où rampent peut-être des fêlures mais où se déploie aussi le bonheur de gestes bienveillants, on prend le risque de faire place à l’humain…»